À la fin de l'année scolaire, la mamie de Toto lui demande :
- Dis-moi, Toto, est-ce que tu as fait des progrès à l'école, cette année ?
- Oui, mamie, j'en ai fait plein !
- C'est très bien, mon chéri. Tiens, prends ces 50 euros pour te récompenser.. Maintenant, dis-moi quels progrès as-tu faits exactement.
- Ben, je n'ai pas renversé une seule fois mon plateau, à la cantine !
Un matin, Toto arrive à l'école avec un bouquet de fleurs qu'il a cueillies dans le jardin de ses parents. Il dit :
- Tenez, maîtresse, c'est pour vous. Il faut que je vous dise que je suis très amoureux de vous, et que je voudrais me marier avec vous !
- Merci beaucoup Toto, c'est très gentil de ta part. Mais qu'est-ce que je ferais avec...un...enfant ?
- Mais non, maîtresse, je vous promets que je ferais très attention !
La maîtresse convoque la maman de Toto.
- Madame, votre fils a triché en classe ! Il a rendu le même devoir que son voisin, il a copié sur lui.
- Et qu'est-ce qui prouve que ce n'est pas son voisin qui a copié sur Toto ?
- Parce qu'à une question, son voisin a répondu '' je ne sais pas '' et que Toto a écrit '' moi non plus '' !
Toto reçoit des copains à la maison pour son anniversaire. Au moment de souffler les bougies, tous les invités sont autour de Toto, sauf Rémy...
- Où est passé Rémy ? Demande la maman de Toto.
- Je l'ai mis dans le frigo ! Répond Toto.
- Mais tu es fou, il va prendre froid !
- Ne t'inquiète pas, j'ai fermé la porte.
La maîtresse décline le verbe partir à la forme négative :
- Je ne pars pas, tu ne pars pas, il ne part pas, nous ne partons pas, vous ne partez pas, ils ne partent pas. Quelqu'un peut-il décliner ce verbe à la forme affirmative ?
- Moi, maîtresse ! Dit Toto.
- Je t'écoute...
- On reste ici !
C’est la rentrée. Toto est assis juste devant la jeune et jolie nouvelle institutrice. Il n’arrête pas de faire tomber ses articles d’école pour se baisser, les ramasser et mater sous le bureau de la jeune femme. Elle lui dit :
- Toto, tu crois que je n’ai pas repéré ton manège ? Tu te penches juste pour regarder mes genoux !
- Oh, mais non, vous vous méprenez, maîtresse. Je suis bien au-dessus de ça, moi !