Trois petites vieilles se promènent dans un bois près de chez elles.
or il se trouve que depuis un certain temps, ce bois sert à toutes sortes de rencontres, mais principalement du genre à se finir avec un seau d'eau tiède et une éponge pour décoller les partenaires
au détour d'un buisson, la première désigne de sa canne un couple d'homosexuels qui, tête-bêche, se pourlèchent et gobent en suffocant des bites tellement énormes qu'elles en confinent à l'infirmité, au phénomène de foire noueux et veineux
elle marmonne :
- non, mais, vous avez-vu ça ?! dans quelle époque on vit ?!
- ne m'en parle pas, Simone ! regardez ceux-là ! ajoute la deuxième petite vieille en désignant un chef d'entreprise bourrant le cul serré d'un travelo tout en se faisant lubrifier l'anus par la langue experte de sa secrétaire qui, elle, exhibe sa moulasse à 4000 euros encore toute engluée du jus contrarié de l'androgyne brésilien
- ils sont pas beaux eux aussi à faire leurs saloperies dans la nature ?
- de mon temps, ajoute la troisième, en s'approchant d'un tas de capotes usagées dans un fourré, on aurait jamais vu des choses pareilles dans notre petits bois.
Et elle ramasse un des préservatifs et ... slurp ! en aspire le contenu
- en plus, ces salauds-là, ils jettent le meilleur