Une blonde à un entretien d'embauche :
-Votre motivation sur une échelle de 1 à 10?
- Ah parce qu'il faut que j'monte sur une échelle en plus??
Chuck Norris joue à la roulette russe avec un chargeur plein.
Deux fesses discutent :
- Tu veux sortir avec moi ?
- Euh non . Ça colle entre mais c'est aussi la merde entre nous !
Maitresse : Bon les enfants, pour Lundi vous me faites un exposé sur votre père.
Un élève : Mais Madame... Mon papa est mort...
Maitresse : Et bien tant pis pour toi ! Tu auras zéro !
Le premier jour de l'école, un professeur demande à un élève :
-Quel est ton nom ?
-Ai oublié.
-S'il te plaît, ton nom !
-Ai oublié.
-Ne me dis pas que tu as oublié ton nom !
Le petit garçon se force pour bien articuler :
-Léo Blier.
Je sais pas si vous avez remarqué mais quand on voit les Jessica, Carla etc des anges de la téléréalité qui tombent enceintes... Je suis désolé mais quand on voit leur niveau d'orthographe, je sais pas ce que ça sera au moment de faire les devoirs avec les mômes ?????
Quel est le point entre un garagiste et un prêtre ?
Ils démontent des sco(o)uts !
Tu es comme l'eau en Afrique.
Ah bon ? Je suis rare ?
Non, tu n'es pas potable.
Quel est le point commun entre une femme enceinte et une boule de billard ?
Ils se sont pris un coup de queue
Savez-vous à quoi correspondent les lettres ABCDEF pour définir les tailles des bonnets de soutien-gorge ?
A - Appréciable
B - Bien
C - Canon
D - Dément
E - Énorme
F - Faux
Qu'est ce qu'un spermatozoïde avec une valise ?
C'est un représentant de mes couilles !
Toto rentre de l'école, s'affale dans le canapé et allume la télé. Il apelle sa mère.
-Maman, donne moi du chocolat avant que ça commence.
La maman apporte un morceau de chocolat, que Toto grignote. Dix minutes plus tard, il dit :
-Maman, donne-moi encore du chocolat avant que ça commence.
La mère se met à grommeler, mais elle apporte un nouveau morceau.
Encore dix minutes, et Toto apelle :
-Maman ! Donne-moi encore du chocolat avant que ça commence !
Cette fois, la mère se fâche.
-Non mais, tu ne crois pas que tu as déja mangé trop de chocolat ? Et tu ne dis pas s'il te plaît, ni merci ? Et tu ne fais pas tes devoirs ?
Et là, Toto lève les yeux au ciel et grogne :
-Ça y est, ça commence...
Deux hommes discutent soudain l'un d'eux dit :
-Les gens devrait toujours dormir la fenêtre ouverte..
Les deuxième stupéfait demande :
-Pourquoi ? Vous êtes médecin ?!
-Non cambrioleur.
Chuck Norris peut te faire passer un sale quart d'heure en quelques secondes !
JOURNAL DE CONFINEMENT
JOUR 1 : Mercredi 18 mars. Premier jour à quatre à la maison. Journée ensoleillée, les enfants ont pu profiter du jardin. Pas encore de nouvelles de la maîtresse, j'imagine qu'il faut le temps de s'organiser. Ce midi, apéritif en famille, jeux l'après-midi ; Mathilde avait fait un gâteau au chocolat pour le goûter. Petit air de vacances !
JOUR 2 : Jeudi 19 mars. Première tonte de l'année ! J'adore l'odeur de l'herbe coupée. Les arbres sont en bourgeons, les tulipes sortent de terre, les premiers jours de printemps sont toujours agréables ! Foot avec les enfants qui ont fini par se disputer, comme toujours. La vie s'organise tranquillement.
JOUR 3 : Vendredi 20 mars. Les premiers devoirs sont tombés pour Mathis : révisions sur les divisions. Surtout rester calme... Léa fait des dessins pour papa et maman. Trop mignon.
JOUR 5 : Dimanche 22 mars. Le jardin est au carré, on dirait Versailles ! Comme quoi il y a toujours du bon à prendre ! Mathilde a les mains dans la farine la moitié du temps : gare aux kilos en trop ! Léa a épuisé la moitié du stock de pages blanches, c'est moche pour la planète. Côté divisions, on rame...
JOUR 7 : Mercredi 25 mars. Si Mathis me demande encore une fois ce qu'est un dividende, je lui fais manger son cahier ! Léa a enfoncé toutes les pointes de feutres et chouine à longueur de journée. Mathilde s'est lancée dans la confection d'un gâteau roumain à la purée de marrons et aux pruneaux. Est-ce vraiment une bonne idée ? Le temps commence à sembler long.
JOUR 10 : Samedi 28 mars. Je crois que mon fils est con, j'ai abandonné la division. On a une semaine de retard sur le travail envoyé par la maîtresse. J'ai vomi le gâteau aux marrons.
JOUR 11 : Dimanche 29 mars. La caisse à outil est nickel, j'ai rangé mes clefs plates par ordre de grandeur, les marteaux par ordre croissant de poids. J'ai trié tout ce qui pouvait se trier dans la maison : clous, vis, boutons, punaises (par couleurs), slips.. Je commence à voir flou.
JOUR 14 : Mercredi 1er avril. On continue sur le passé simple. La décence m'oblige à me taire...
JOUR 15 : Je rédige une lettre à l'attention du pape pour faire canoniser la maîtresse de mon fils. J'ai envie d'écouter Céline Dion en passant l'aspirateur dans le garage. Je crois que ça va pas le faire.
JOUR 16 : Vendredi 3 avril. « Les enfants prenâmes le goûter sur la terrasse ». Bon c'est fois-ci c'est clair, Mathis n'aura pas non plus le prix Nobel de littérature... J'ai envie d'épouser sa maîtresse...je crois que je commence à délirer... Léa regarde la télé H 24. Mathilde a commencé une pièce montée à cinq étages. Je ne le sens pas trop. J'ai déjà pris cinq kilos...
JOUR 17 : Samedi 4 avril. Je crois que j'ai chopé un Gilles de la Tourette avec ce putain de passé simple de merde ! La pièce montée s'est cassé la gueule. J'ai des hallucinations, les dessins de ma fille me parlent !
JOUR 18 : Dimanche 5 avril. Pour la première fois de ma vie, j'ai prié Dieu...
JOUR 19 : J'ai bouffé la page du livre de conjugaison. Problème réglé...
JOUR 20 : Passé la journée à chercher le chien, on l'a perdu !
JOUR 21 : Merde, c'est vrai, on n'a pas de chien ! J'attaque ma cinquième bière de la journée. Léa ressemble à un lapin qui aurait attrapé la Myxomatose.
JOUR 30 : 36 mars. Je suis sûr d'avoir vu passer la maîtresse de Mathis dans la pâture derrière chez nous : elle promenait son Bescherelle en laisse. Je vais reprendre un ricard …
JOUR 31 : J'ai les dents qui grattent, je transpire des yeux. Je me rends compte que mon slip est à l'envers. Comme je le porte au-dessus mon pyjama, j'ai l'air encore plus con.
JOUR 32 : An 3020 après ma belle-mère. Plus de farine dans les magasins, Mathilde est prostrée sur une chaise dans la cuisine, elle fait la conversation au four. Mathis essaye de diviser le passé simple. Léa bave devant la télévision. Les stocks de Ricard sont épuisés. Au secours...
JOUR 40 : 37 avril 2028. Oh putain on a remonté le temps ! Il se passe des trucs bizarres... Il y a une dame dans ma cuisine qui pleure en regardant le four, je ne sais pas du tout qui c'est. Et cette petite assise dans le coin qui regarde en ricanant, elle me file je jetons. De toute façon je ne sais plus comment je m'appelle. Je ne sais même plus pourquoi j'écris. C'est la fin...
JOUR 50 : Il s'est passé quelque chose. Il y a des gens partout, on entend « c'est fini ! », « C'est fini ! », « Plus de confinement ! ». Je ne sais pas ce qu'il se passe. Je sors pour voir. Je m'y reprends à trois fois avant de savoir enfin passer la baie vitrée. Je respire à pleins poumons. Je tombe dans les pommes. Direction les urgences.
JOUR 60 : Vendredi 15 mai. Reprise du travail depuis une semaine. Mathilde, Mathis et Léa vont bien. La vie a repris son cours normal, si ce n'est que j'ai du cholestérol, du diabète, des troubles de la personnalité (mon double ne parle qu'au passé simple et cherche à diviser tout ce qu'il peut, c'est un peu pénible...) Mais bon nous en sommes sortis vivants ! Rendez-vous demain chez la psy, 15h30...
Lors d’une campagne électorale un candidat à la députation fait une tournée dans un village de la France profonde :
Il demande aux villageois de lui exposer deux de leurs principaux problèmes.
- Notre premier problème, c'est le manque de médecin, disent les villageois.
L'homme politique prend son smartphone dernier cri, compose un numéro, celui d'un ministre sans doute, murmure quelques phrases inintelligibles, raccroche et leur déclare :
- Voilà, ce problème vient d'être résolu ! Quoi d'autre ?
Les villageois :
- le deuxième problème, c'est qu’il n’y a pas de réseau pour les téléphones mobiles dans le village.
Toto rencontre son copain qui lui demande :
- Tu joues aux billes avec moi ?
- Non, je ne peux pas. Je dois rentrer pour aider mon père à faire mes devoirs!
Moi je voudrais mourir comme mon grand-père, il est mort pendant son sommeil, il n'a rien senti. Ca c'est une belle mort ! Je ne voudrais surtout pas mourir en paniquant, en gesticulant et en criant comme tous les autres passagers dans sa voiture.