C'est un bègue qui trouve un jour un cheval mort dans la rue, juste en face de chez lui. Il téléphonne au commissariat:
- Bon..bon.bon...bon...bonjour! C'est...c'est...c'est... c'est le co..co...co...commi...commissariat?
- Allô? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous?
- Y..y..y...y y-a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- À la rue Garibaldi?
- Non ! A la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- Bon, je n'ai pas que ça à faire, hein? Alors bonne journée! [clac! Le policier raccroche le téléphonne]
Cinq minutes plus tard : - Bbb..bbb.bbb...bonjj jj...bonjour! C'est...c'est...c'est... c'est l'co..co...co...commisss...ssariat?
- Allô? Oui c'est bien le commissariat. Que voulez-vous?
- Y..y..y...y-a un che..che..che..cheval y-a un che-cheval mm..mm..mm..mort a la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- À la rue Garibaldi ?
- Nnnon! Non, à la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- Bon, écoutez, la plaisanterie n'est pas drôle ! Alors bonne journée! [clac! Le policier raccroche le téléphonne]
Puis encore cinq minutes plus tard :
- Bbb..bbb.bbb...bonjj jj...bonjour! C'est...c'est...c'est... c'est le co..co...co...commis...commissariat?
- Allô ? Oui c'est bien le commissariat. Encore vous ! qu'est ce que c'est que votre histoire de cheval ?
- Y..y..y...y-a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr...rr..rue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- À la rue Garibaldi?
- Nnnon ! A la rr...rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga... [clac! Le policier raccroche le téléphonne]
Enfin, UNE HEURE PLUS TARD:
- Bbb..bbb.bbb...bonjj jj...bonjour! C'est...c'est...c'est... c'est l'co..co...co...commi...ssariat ?
- Oui !
- Y..y..y...y-a un che..che..che..cheval mm..mm..mm..mort a la rr..rr..rrue Gaga...Ga..Gaga..Gaga...
- À la rue Garibaldi?
- Ouiiiiiii!
- Mais il fallait nous le dire plus tôt! Enfin, pourquoi avoir attendu aussi longtemps?
- Il a ff..ff..ffallu qu..qq..q.que j.. je. jj..j que jj.. que je le déplace le cheval!
C'est un gars comme tout le monde qui défie Superman au bras de fer. Ils commencent et là, Superman est surpris par la force du type ordinaire, qui finit par le battre après 5 seconde de tension. Superman interroge le gars:
-"Eh beh, pour me battre t'as du en faire de la muscu!"
-"Oh non, je suis juste célibataire depuis 30 ans !"
Je demande solennellement, pour ne pas dire j'exige, le retour sans délai à la télévision, des anciens présentateurs météo!
Alain Gillot-Pétré, Catherine Laborde, Patrice Drevet, Brigitte Simonetta, Michel Cardoze et Nathalie Rihouet.
Eux, au moins, ne nous faisaient pas chier avec cette connerie de canicule!
C'est un gars qui va chez le poissonnier. Et là, étonné, il constate que la tête d'un poisson est vendue plus chère qu'un poisson entier. Il interroge donc le poissonnier:
-"Dîtes monsieur, vous ne trouvez pas ça un peu étrange de vendre une tête de poisson plus chère que le poisson entier?"
-"Mais pas du tout, la tête de poisson rends plus intelligent. Tenez, je vous donne un échantillon et demain vous m'en direz des nouvelles."
Il retourne chez lui, mange la tête de poisson pour souper et va se coucher.
Le lendemain, de retour chez le poissonnier:
-"J'ai mangé votre tête de poisson, et je ne comprends toujours pas pourquoi vous la vendez plus chère que le poisson. Car non seulement je n'ai senti aucune différence, mais en plus la tête du poisson est comprise avec le poisson entier."
-"Ah! Vous voyez? Ça commence!"
Histoire vraie:
Nathan se rend compte qu'il a un mal de chien à chaque fois qu'il s'accroupit.
Il décide d'appeler le toubib.
Docteur: "Alors quel est votre problème Nathan ?"
Nathan: "J'ai un mal de chien quand je m'accroupis."
Docteur: "Ne vous accroupissez pas. Ça fera 30€"
Un Tunisien prend son petit déjeuner (café, croissants, pain beurré, confiture), quand un Américain, ruminant son chewing-Gum, vient s’asseoir près de lui.
Le Tunisien l’ignore, mais l’autre entame la conversation.
L’Américain:
- Vous les Tunisiens, vous mangez tout le pain ?
Le Tunisien (de mauvaise humeur):
- Bien sûr.
L’Américain: (après avoir fait une grosse bulle):
- Pas nous. Chez nous, on ne mange que l’intérieur. On récupère les croûtes, on les recycle, on les transforme en croissants et on les envoie en Tunisie.
Le Tunisien écoute en silence…
L’Américain insiste avec un sourire plein de suffisance:
- Vous mangez de la confiture avec le pain ?
Le Tunisien:
- Bien sûr.
L’Américain (Claquant sa gomme entre ses dents):
- Pas nous. Nous mangeons des fruits frais, nous récupérons les épluchures, les pépins, on les recycle en confiture, qu’on envoie en Tunisie.
Le Tunisien demande alors:
- Et qu’est-ce que vous faites avec les préservatifs usagés ?
L’Américain:
- On les jette, bien sûr.
Le Tunisien (avec un grand sourire):
- Pas nous. En Tunisie, on les met dans un récipient, on les fait fondre, on en fait du chewing-gum qu’on envoie aux Américains.
Dans un restaurant du Vieux-Nice, un touriste parisien appelle le garçon:
– On étouffe, ici ! Mettez donc en marche l’air conditionné.
– Bien, monsieur.
Dix minutes plus tard, le touriste dit au garçon:
– On gèle, ici ! Arrêtez un peu l’air conditionné.
– Bien, monsieur.
Un quart d’heure se passe:
– Garçon ! C’est une véritable fournaise. Remettez en marche l’air conditionné.
– Bien, monsieur.
Un autre touriste, assis à une table voisine, dit au garçon:
– Vous avez une drôle de patience avec ce genre de loustic.
– Oh! vous savez, répond le garçon, l’essentiel est qu’il soit content. Parce qu’entre nous, nous ne l’avons pas encore fait installer, l’air conditionné.
Deux caissières de supermarché prennent leur demi-heure de pause. Elle se rendent à la cafétéria pour boire un café, et au passage l'une d'elle achète un journal au kiosque. Puis, elle le feuillette tout en dégustant son café. Quand elle se lève pour reprendre le boulot, elle jette le journal à la poubelle. Sa collègue s'étonne :
- Tu as déjà fini de le lire ?
- Oui, c'est de la déformation professionnelle! Comme je travaille à la caisse rapide, pas plus de 10 articles!