C'est le grand jour. Le futur marié est déjà à genoux devant l'autel. Sa fiancée arrive au bras de son père et s'agenouille à son tour sur un prie-Dieu. A ce moment là, le curé s'approche du jeune homme et lui glisse à l'oreille :
- Mon fils, je sais bien que vous attendez l'ouverture de la pêche avec impatience, mais vous auriez pu laisser les gaules et l'épuisette dans la sacristie !
Un Monsieur voulait choisir un robe dans un magasin pour sa femme.
La vendeuse lui demandait : Quelle est la taille de votre femme ?
«Ah, Mince! je ne sais pas !»
« Mais ,attendez ! » Monsieur réfléchit en fixent le plafond « Il y a une télévision 20 pouces chez moi. Chaque fois, quand ma femme se tient devant, tout l’écran est masqué. »
Un homme est à l'article de la mort.
Il fait venir un prêtre et lui dit:
- Mon père, je ne vous ai fait appeler que pour une seule raison. Toute ma vie a été consacrée au foot, vous le savez. J'ai fait partie d'une équipe de pupilles à cinq ans puis j'ai gravi tous les échelons. J'ai été joueur de l'équipe de France. Ensuite, j'ai été entraîneur de grandes équipes internationales. J'ai été commentateur sportif. Quand j'ai été trop vieux, j'ai pris ma retraite et j'ai aidé à la création d'un club de foot dans ma commune natale. Même à la maison de retraite, je n'ai jamais manqué un seul match de foot à la télévision.
- Je sais tout cela mon fils. En quoi puis-je t'aider et t'apporter l'apaisement ?
- Eh bien. Je sais bien que je vais bientôt rejoindre mon Créateur. Ma vie ayant été faite d'efforts, d'honnêteté et de générosité... je pense que je mérite le paradis. Mais une chose m'inquiète.
- Laquelle ?
- Je me demande si on joue au football au paradis.
- La question est délicate mon fils. Laisse-moi un instant.
Le curé s'agenouille et prie quelques minutes. Il se relève.
- Mon fils, j'ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise.
- Commencez par la bonne.
- Tu vas être content. On joue au foot au paradis. Il y a des équipes, des entraînements, des championnats, des coupes...
- Et la mauvaise.
- Tu es sélectionné pour demain.
Depuis la sortie du collège, Paul passe pratiquement tout son temps étendu sur le sofa à regarder les sports et à boire de la bière. Un jour, en s'étirant pour attraper une autre canette, il tombe en bas du sofa sur la tête et on doit le conduire d'urgence à l'hopital. Après avoir pris des rayons X, le docteur vient voir Paul et lui dit :
-Je regrette, mais j'ai des mauvaises nouvelles pour vous jeune homme. Vos rayons X nous montrent que vous avez brisé une vertèbre dans votre cou et j'ai bien peur que vous ne puissiez jamais travailler de votre vie...
-Merci docteur, mais maintenant, dites moi : C'est quoi la mauvaise nouvelle ?
Pourquoi c'est formidable d'être un homme ?
-Les conversations téléphoniques ne durent pas plus que 30 secondes.
-Une semaine de vacances ne néssécite qu'une seule valise.
-Vous pouvez aller à la salle de bain sans être accompagné.
-Vous n'avez pas à vous raser plus bas que le cou.
-Vos sous-vêtements coûtent 8 euros pour un paquet de 3.
-Vous ne fouillez pas dans le déssert des autres.
-Trois paires de chaussures vous suffisent.
-Même travail, plus d'argent.
Trois amis discutent à un bar. Le premier dit :
- Moi, ma femme veut faire l'amour qu'une fois par semaine.
Le second dit :
- T'as de la chance, moi elle veut le faire qu'une fois par mois !
Le troisième affiche un grand sourire. Il dit :
- Moi, elle veut le faire qu'une fois par an.
Les deux autres s'étonnent :
- Une fois par an ? Et pourquoi tu souris comme ça alors ?
Il répond :
- Parce que c'est ce soir.
André et Bernard essaient toujours de s'impressioner en se jetant de la poudre au yeux. Bernard s'est acheté une limousine Mercedes et André s'est acheté une limousine Cadillac. Un jour qu'ils sont arêtés côte à côte, Bernard dit à André :
-Belle auto, est-ce qu'elle est tout équipée ?
-Certainement.
-As-tu un téléphone ?
-Oui.
-As-tu la télévision ?
-Certainement.
-As-tu un lit ?
-Non, ju'ai pas de lit, en as-tu un ?
-Oui, c'est formidable.
Au même moment, la lumière change et ils partent. André est furieux et retourne voir son vendeur de Cadillac et demande qu'on lui installe un lit. Une semaine plus tard, il va chercher sa voiture équipée du nouveau lit. Il demande à son chauffeur de l'amener près des bureaux de Bernard en espérant le rencontrer. Finalement, il voit la limousine de Bernard stationnée en bordure de la route avec des clignotants d'urgence allumés. André déscend, frappe à la porte de la limousine ; il attend, pas de réponse. Il frappe à la fenêtre et Bernard baisse la vitre et demande :
-Qu'est-ce que tu veux ?
André lui répond :
-Je voulais te dire que je me suis fait installer un nouveau lit.
-Tu m'as sorti de la douche pour me dire ça !
Un canadien prend son déjeuner (Café, croissants, pain de blé entier, confiture) dans un restaurant quand un gros américain, mâchant sa gomme balloune vient s'asseoir près de lui et lui dit :
-Vous autres au canada, vous mangez le pain de blé entier au complet ?
-Bien sûr !
-(Tout en mâchant sa gomme) Pas nous autres. Aux États, on mange rien que de la mie. Mais on récupère les croûtes dans un conteneur, on les recycle, on les transforme en croissants puis on les revend au canadiens.
Avec un petit sourire en coin, le canadien écoute en silence. L'Américain :
-Mangez vous de la confiture avec votre pain ?
-Évidemment.
-(Tout en mâchant sa gomme et en se moquant du canadien) Pas nous autres. Aux États, on mange des fruits frais au déjeuner. Ensuite avec les pelures et les graines qu'un met dans un conteneur, on les recycle, on les transforme en confiture puis on vend ça au canadiens.
Le canadien lui demande :
-Baisez vous aux États ?
-Bien sûr que oui !
-Qu'est-ce que vous faites avec les condoms après les avoir utilisés ?
-(Tout en mâchant sa gomme) On les jette à la toilette évidemment.
-Pas nous autres. Au canada, on les met dans un gros conteneur, on les recycle, on en fait de la gomme balloune puis on en vend au américains !
Une jeune secrétaire terriblement en retard entre dans l'ascenseur ou elle travaille. Pour gagner du temos, elle défait la ceinture de son imperméable. Au premier étage, elle enlève l'imperméable. Au deuxième étage, elle enlève son foulard. Au troisième étage, elle enlève sa veste. Au quatrième étage, elle sort de l'ascenseur.
Un des passagers dit :
-C'est dommage qu'elle ne travaille pas au dixième étage !