Deux kabbalistes juifs discutent dans un parc paysager :
-J'ai raté la Daath de mon dernier rite initiatique... Ca fait Chesed ! Hod-ésolé pour le juron.
-Allez calme-toi, ça Chokmah purité spirituelle mais tu n'as pas encore atteint les Sephiroths les plus élevées pour me comprendre, Assiah toi donc sur ce banc. Il va falloir repayer la cérémonie et ça fait mal, ça Malkhuth comme on dit par chez nous.
-Yahkin bon match de tennis qui me requinquerait !
-Bien je vais jouer avec toi. Mais cette fois Hessed de bien servir. T'as Kabbal-ancer la balle de toutes de tes forces.
Et en s'addonant à ce plaisir sportif terrestre, les deux adeptes perdirent les savoirs cachés qu'ils avaient appris.
(Pour bien saisir les jeux de mots de cette blague, il est nécessaire de bien comprendre la structure intrasèque de l'arbre de vie)
Un islamiste s'installe dans un taxi. Le taxi n'a pas fait cent mètres, quand il dit au chauffeur :
- Je te demande d'arrêter cette musique décadente que notre religion nous interdit d'écouter. À l'époque du Prophète, cette musique n'existait pas! Elle est faite pour les incroyants.
Le chauffeur coupe la radio, arrête le véhicule, et il sort. Il ouvre la portière de son passager, qui demande :
- Pourquoi tu t'arrêtes ?
- À l'époque du Prophète, il n'y avait pas de taxi. Alors tu descends et tu attends un chameau!
Après la messe, le curé va, comme à son habitude, se reposer à l'ombre du marronnier, derrière l'église. En entendant un merle siffler, il lève la tête et aperçoit une petite fille, debout dans l'arbre, sans culotte. Il s'écrie :
- Dieu du ciel! Descend tout de suite, mon enfant!
La gamine obtempère et le prêtre lui dit :
- Tiens, voilà cinq euros. Dis à ta maman qu'elle t'achète une culotte.
Le petite court raconter l'histoire à sa maman. Celle-ci réfléchit et se demande combien le curé lui donnera si elle monte, elle-même, dans l'arbre, sans culotte. Le dimanche suivant, le curé s'installe de nouveau sous le marronnier.
Il entend le merle et il lève la tête. Il voit la maman, sans culotte.
- Mon Dieu, ce n'est pas possible! Descendez au plus vite, ma fille!
La mère descend et le curé lui dit :
- Tenez, prenez ces dix euros, et allez vous acheter un rasoir!
En ce temps-là, les juifs voulaient lapider Marie-Madeleine, la pécheresse. Jésus s'interposa en disant:
- Que celui d'entre vous qui n'a jamais péché, lui jette la première pierre!
La foule recula, quand soudain, un énorme pavé vint fracasser le crâne de Marie-Madeleine.
Alors, Jésus se retourna et dit :
- Dis m'man, tu crois pas que tu en fais un peu trop ?
Une mère juive monte dans le bus, en compagnie de sa fille de vingt ans. Elles s'assoient.
Soudain, la maman se met à crier :
- Y a-t-il un médecin dans ce bus ? Vite! Vite! Il y a un médecin ?
Un homme se précipite vers elles et demande ce qu'il se passe. La mère répond :
- Vous êtes médecin ?
- Oui.
- Enchantée! Voulez-vous que je vous présente ma fille ?
C'est une vieille dame qui assisste à la messe. Le curé dit:
- Que tous ceux qui ont commis le pêché d'adultère au moins une fois dans leur vie s'avancent vers moi.
La petite vieille, un peu dure d'oreille demande à son voisin:
- Qu'est-ce qu'il dit ?
Celui-ci, pour plaisanter lui répond:
- Il a dit que ceux qui voulaient une pastille à la menthe s'avancent vers lui.
La vieille dame va donc rejoindre le groupe qui s'est avancé et le curé en la voyant lui dit:
- Vous madame ? À l'âge que vous avez ? Vous n'avez pas honte ?
La petite vieille qui n'a pas pour habitude de se laisser faire répond:
- Dites-donc mon père ? Vous croyez que c'est parce que je n'ai plus de dents que je suis dispensée d'en sucer une de temps en temps ?
À la fin de la messe, le curé appelle les trois enfants de chœur et leur dit :
- L'un de vous a pété pendant la communion. C'est horrible, et je dirais même que c'est intolérable!
- Mais, monsieur le curé, comment pouvez-vous être sûr que c'est l'un de nous ? demande un des enfants. Ce pourrait être une des personnes qui ont communié!
- Ça ne peut être que l'un de vous, car ça sentait la vaseline à plein nez!
C’était un dimanche, Toto était a l’école du dimanche et une fille prénommée April était a coté de lui.
April dormait toujours et n’avais jamais participé. Ce dimanche toto eu une idée. Il prit une aiguille.
La dame:
« Qui a crée notre univers?
Toto mis l’aiguille dans le dos de April et elle s’écria:
-OH MON DIEU TOUT PUISSANT
-Bravo April! »
Elle se rendormi. Plus tard une autre question:
« Qui est le fils de dieu?
Toto lui enfonça l’aiguille dans le dos une nouvelle fois. Elle s’écria:
-JÉSUS CHRIST!
-Wow bravo April. »
Plus tard une autre question:
«Qu’a dit Ève à Adam après avoir accouché de son 23 ème enfant?
Toto lui mit encore l’aiguille dans le dos ( pauvre fille...) et elle hurla:
-SI TU ME REMET CE PUTAIN DE TRUC DANS LE CORPS JE LE CASSE EN DEUX ET JE TE LE FOUS DANS LE CUL!
La maîtresse perdit connaissance.
Un homme va voir un prêtre pour se faire confesser:
- Je t'écoute mon fils, dit moi tes péchés.
- Eh bien voilà mon père, durant la seconde guère mondial, j'ai abrité une femme juive d'allemands qui l'a cherchait.
- Mais ce n'est pas un péché , c'est un acte de bravoure!
- Attendez mon père je n'est pas fini, durant la guerre , j'était plutôt jeune et en échange que je la couvre , je lui est demandé des services... Sexuellement parlant.
- Ah ... La guerre était dure et vous avez prit un grand risque en protégeant cette personne. Je pense que le seigneur verra le héros en vous plutôt qu'un simple profiteur.
- C'est vrai? Je vous remercie énormément mon père!
L'homme s'en va puis fait demi tour:
- Mon père ? Doit-je lui dire que la guerre et terminé ?
Un gars entre dans le confessionnal après des années loin de l'Église.
Il tire le rideau, entre et s'assied.
Il y a un bar entièrement équipé avec des verres en cristal, le meilleur vin, Guinness à la pression, cigares et liqueurs, chocolats à proximité, et sur le mur une belle exposition photographique de dames bien en chair qui semblent avoir égaré leurs vêtements.
Il entend un prêtre entrer dans le confessionnal:
«Père, pardonne-moi il y a longtemps que je ne suis pas venu me confesser. Je dois admettre que le confessionnal est beaucoup plus accueillant qu'autrefois. "
Ce à quoi le prêtre répond...
"Sortez de là, vous êtes de mon côté."