C’est l’histoire d’un homme qui est jugé pour meurtre et qui comparait au tribunal. Le juge s’adresse à lui pour lui annoncer ses crimes :
- Monsieur, vous êtes accusé de double-meurtre. D’abord auprès de votre épouse que vous avez sauvagement abattu à l’aide d’un marteau.
Soudain un homme se met à hurler dans l’assistance :
- Mais quel enfoiré !
Le juge reprend :
- Puis vous êtes accusé d’avoir abattu votre fille là aussi à l’aide d’un marteau.
Le même homme se fait encore entendre :
- Mais quel gros enfoiré !!
Le juge décide alors de s’adresser à lui :
- Monsieur ! Je peux comprendre votre colère et votre dégout face à ces crimes abjectes, mais je vous demande de rester calme !
- Mais comment voulez-vous que je reste calme monsieur le juge ! Pendant 10 ans j’ai été le voisin de cet enfoiré ! A chaque fois que je suis allé lui demander un marteau, il m’a dit qu’il n’en avait pas !
Un arabe dit à ses potes :
- Quand l'euro est arrivé, en 2002, j'avais 12 ans. Je me souviens que ma mère m'envoyait à l'épicerie avec un billet de 10 €, et je ramenais 5 kilos de patates, de l'huile, douze œufs, 4 steaks, un poulet, des boissons et même des paquets de bonbons. Aujourd'hui, tout ça n'est plus possible avec toutes ces putains de caméras!
- Deux mendiants à Paris, un roumain et un algérien.
Le roumain finit sa journée avec des pièces et l'algérien avec pleins de billets de 10 euros.
Le roumain :
- Comment tu as fait ??
L'algérien :
- Qu'est ce qu'il y a écrit sur ton panneau ?
Le roumain :
- J'ai faim, j'ai rien mangé, j'ai des enfants etc...
L'algérien :
- Ah! tu es con toi, moi sur la mienne j'ai écris :
Il me manque 10 euros pour rentrer en Algérie.