lebidule a dit
Non, un type a simplement utilisé une lettre d'un autre alphabet pour créer un compte avec un nom quasiment identique.
Son adresse IP, ***.***.***.**, est au ****** et est enregistré comme Le Groupe Videotron Ltee Et je sais qu'il avait cette adresse le 3/6/2018 à 18:01:18, heure française
Aparement c'est un opérateur téléphonique, mais comme ils enregistrent à quel abonné correspond tel ip il y a moyen de l'identifié. Vu que le probléme est recurant, je me tate pour aller porter plainte ou pas.
Québec hein? Peut-être mon pote! Mdr. Et pour ta connaissance générale, Vidéotron fais aussi du Wi-Fi à domicile et de la télévision.
Et bien au vu de la lois française, à laquelle se site est soumis, rien que les insultes sont passible de peine de prison.
Je fais preuve de tolérance, surtout vu la montagne de paperasse qui m'attend, mais si la recherche et la correction de faille se met à prendre plus de temps que d'aller au comissariat, je ne vais pas me gener. Certain n'ont clairement pas conscience de se qu'ils risquent, et ils peuvent prendre trés cher !
L'affaire devient autrement plus sérieuse lorsque le message injurieux est considéré comme public. C'est, par exemple, le cas des statuts Facebook visibles par de nombreux contacts, ou des tweets, même publiés par un profil "privé", consultables par des centaines d'abonnés. Là, une injure "classique" sera passible d'une amende de 12 000 euros, et une insulte raciste ou homophobe de 22 500 euros d'amende et de six mois d'emprisonnement, selon l'article 33 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse.
Le récent article 222-33-2-2 du code pénal prévoit que les faits de harcèlement, "lorsqu'ils ont été commis par l'utilisation d'un service de communication au public en ligne", sont désormais punis de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. La peine peut même grimper à trois ans de prison et 45 000 euros d'amende si la victime est un mineur de 15 ans ou moins, "ce que l'on retrouve beaucoup dans le milieu scolaire", précise la spécialiste.
Le sentiment d'impunité que peuvent ressentir certains harceleurs en ligne qui utilisent un pseudonyme plutôt que leur véritable identité peut vite se heurter à la réalité. "Lorsque la victime dépose plainte, le parquet ouvre une enquête pour déterminer l'auteur des faits", explique Julien Fournier. Lorsque celui-ci est basé en France, "ce n'est en général pas bien difficile de l'identifier grâce à l'adresse IP", qui permet de remonter jusqu'au titulaire d'une connexion internet, continue l'avocat.
NUL N'EST CENSER IGNORER LA LOIS !
Trop tard le bon amis, j'ai vus ton message précedent !
lebidule a dit
Trop tard le bon amis, j'ai vus ton message précedent !
Ah..
lebidule a dit
Et bien au vu de la lois française, à laquelle se site est soumis, rien que les insultes sont passible de peine de prison.
Je fais preuve de tolérance, surtout vu la montagne de paperasse qui m'attend, mais si la recherche et la correction de faille se met à prendre plus de temps que d'aller au comissariat, je ne vais pas me gener. Certain n'ont clairement pas conscience de se qu'ils risquent, et ils peuvent prendre trés cher !
L'affaire devient autrement plus sérieuse lorsque le message injurieux est considéré comme public. C'est, par exemple, le cas des statuts Facebook visibles par de nombreux contacts, ou des tweets, même publiés par un profil "privé", consultables par des centaines d'abonnés. Là, une injure "classique" sera passible d'une amende de 12 000 euros, et une insulte raciste ou homophobe de 22 500 euros d'amende et de six mois d'emprisonnement, selon l'article 33 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse.
Le récent article 222-33-2-2 du code pénal prévoit que les faits de harcèlement, "lorsqu'ils ont été commis par l'utilisation d'un service de communication au public en ligne", sont désormais punis de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. La peine peut même grimper à trois ans de prison et 45 000 euros d'amende si la victime est un mineur de 15 ans ou moins, "ce que l'on retrouve beaucoup dans le milieu scolaire", précise la spécialiste.
Le sentiment d'impunité que peuvent ressentir certains harceleurs en ligne qui utilisent un pseudonyme plutôt que leur véritable identité peut vite se heurter à la réalité. "Lorsque la victime dépose plainte, le parquet ouvre une enquête pour déterminer l'auteur des faits", explique Julien Fournier. Lorsque celui-ci est basé en France, "ce n'est en général pas bien difficile de l'identifier grâce à l'adresse IP", qui permet de remonter jusqu'au titulaire d'une connexion internet, continue l'avocat.
NUL N'EST CENSER IGNORER LA LOIS !
Merci beaucoup de la conscientisation.
AAAAAHHHH QUI EST CE MOI???????????? Pas moi en tout cas.
Le bon ami a dit
Ah merde alors! Fougère s’est fait hacker...
Nan tkt :)
JeSuisUneFougère a dit
AAAAAHHHH QUI EST CE MOI???????????? Pas moi en tout cas.
Mdr