Lundi: Toto à la douche.
Mardi: Toto va te doucher.
Mercredi: À la douche Toto.
Jeudi: Tu vas te laver Toto.
Vendredi: Toto va prendre ta douche
Samedi:
-Bonjour mamie
-Oh que tu a grandit
-C'est normal il m'arrose tout le temps.
Toto mange salement , son père le reprend :
-Toto tu manges comme un goret !
-Papa , le goret c'est bien le fils du cochon , c'est sa ?
Neuneu se balade en voiture avec un copain et s'écrit :
- Oh, regarde : des chevals !
- Ce ne sont pas des "chevals" ce sont des "chevaux", explique son ami.
-.... Ouais.. Mais tu avoueras quand même que ça ressemble vachement à des chevals !
Toto rentre à la maison et demande à sa mère :
-Maman, est-ce-que les voisins de droites sont pauvre?
-Non pourquoi?
-Ben, ils sont affollé juste parce-que leur bébé à avalé une pièce de cinquante centime.
Quelle est l’unité de mesure de la musique de merde ?
Le mètre Gims
Ta mère c'est comme une moustique, je la tape pour qu'elle arête de me suce
Un gars un peu fatigué s'arrête dans un petit bar sur le bord de la route. Au bar, il lit sur l'écriteau:
-Bière : 5 euros.
-Sandwich au poulet : 8 euros.
-Masturbation : 15 euros.
Un peu méfiant, il regarde la serveuse, super mignonne, les yeux et les cheveux noirs comme une nuit brûlante, derrière le bar. Il hésite un peu puis lui demande:
-" Heu, la masturbation là, c'est toi qui t'en occupes?"
La fille roule un peu des hanches, le regarde langoureusement et répond d'une voix chaude:
-" Oui c'est moi, beau gars..."
-" Bon, alors lave-toi bien les mains parce que je veux un sandwich au poulet".
Ma petite amie et moi sortions ensemble depuis plus de deux ans, et avions décidé de nous marier. Ma petite amie était un rêve. Il y avait seulement une chose qui me tracassait beaucoup : sa plus jeune soeur. Ma future belle-soeur avait vingt ans, portant mini-jupes serrées et chemisiers très bien garnis. Elle se penchait régulièrement quand elle était près de moi, j'avais ainsi une vue plaisante sur ses formes appétissantes. Cela était évidemment délibéré. Elle ne l'a jamais fait avec d'autres devant moi. Un jour, elle m'a appelé et m'a demandé de venir pour vérifier les invitations de mariage. Elle était seule quand je suis arrivé. Elle m'a chuchoté que bientôt je serais marié, et qu'elle avait des sentiments et du désir pour moi, qu'elle ne pouvait et ne voulait pas surmonter. Elle m'a avoué qu'elle voulait me faire l'amour juste une fois avant que je sois marié avec sa soeur. J'étais totalement choqué et ne pouvais dire un mot. Elle a dit : « Je vais en haut dans ma chambre, et si tu veux passer à l'acte tu peux monter et me prendre."
J'étais assommé, gelé. Je l'ai observée monter les escaliers. Quand elle a atteint le palier, elle a quitté sa culotte et me l'a jetée en bas des escaliers. Je me suis tenu là pendant un moment, puis j'ai pris la direction de la porte d'entrée. Je l'ai ouverte et j'ai marché directement vers ma voiture.
Mon futur beau-père se tenait dehors. Avec des larmes aux yeux, il m'a étreint et a dit : "Nous sommes très heureux que vous ayez passé notre petit test avec succès. Nous ne pouvions pas penser à un meilleur homme pour notre fille. Bienvenue dans la famille."
Moralité : toujours garder ses préservatifs dans sa voiture.
Au lit l'autre soir avec ma femme, la température montait rapidement. Au moment de passer aux choses sérieuses, elle m'arrêta et me dit:
- "Non, mon amour, je ne le sens pas bien..."
Puis elle ajouta :
- "Je n'ai pas spécialement envie, je voudrais juste que tu me tiennes dans tes bras. Tu n'es pas assez en phase avec mes besoins émotionnels de femme pour que j'aie envie de satisfaire tes besoins uels d'homme !"
A mon regard ébahi, elle enchaîna :
- "Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je fais pour toi au lit".
Comprenant que rien ne se passerait ce soir-là, je n'insistai pas et je m'endormis. Quelque temps après, comme j'avais des congés à récupérer, je décidai de passer la journée avec elle. Après un dîner dans un petit restaurant sympa, je l'emmenai dans un grand magasin de mode où je l'invitai à essayer divers vêtements sous mon regard intéressé. Pendant un long moment, elle essaya tout ce qui tombait sous ses yeux et parada devant moi comme une star. Finalement, deux robes retinrent spécialement son attention. Comme elle ne savait pas se décider, je lui laissai entendre qu'elle prendrait bien les deux. A l'étage suivant se trouvait le rayon des chaussures : une paire neuve par robe semblait indispensable. Une jolie paire de boucles d'oreilles lui faisait de l'oeil : hop, dans le panier !
Croyez-moi, ses yeux brillaient de plus en plus ! Je la connais, je voyais monter en elle une forme d'excitation indescriptible. Elle voulut même me tester, voir jusqu'où j'irais, car elle s'intéressa aux bracelets de tennis. Elle n'a jamais tenu une raquette, mais bon... Je répondis oui. Puis il y eut quelques paires de bas, de la , un foulard, les rayons parfum et maquillage et quelques bricoles. Finalement, elle me regarda avec des yeux pétillants comme du champagne, et dit :
- "Ca va être cher tout ça, on passe à la caisse ?"
Quand je répondis :
- "Non, mon amour, je ne le sens pas bien..."
Son visage devint béat d'étonnement et sa bouche resta ouverte.
Je lui dis alors :
- "Je n'ai pas spécialement envie, je voulais simplement te voir habillée ainsi. Tu n'es pas assez en phase avec mes capacités financières d'homme pour que je puisse satisfaire tes désirs d'achats de femme."
Et comme elle me regardait avec des yeux assassins, j'ajoutai :
"Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je t'achète !"
C'est une employé qui travaille dans un bureau, avec un salaire plutot maigre.
Un jour, son patron lui propose un deal :
- Vous voulez plus d'argent ? et bien voilà ceque je vous propose : je met 500 euros par terre, vous devez les ramasser et lesposer sur la table avant que je n'ai le temps d'enlever ma ceinture.
Si vous y arrivez, vous remportez ces 500 euros, sinon, vous passez la journée à mon entière soumission.
L'employé demande un temps de réfléxion, le soir elle en parle avec son mari.
Ils essaient le test chez eux, le mari pose le bilet par terre, la femme le ramasse aussitot et le pose sur la table, sans qu'il n'ait eu le temps même de détacher sa ceinture. Deuxième essai, même résultat. Elle décide donc d'accepter, ne pensant courir aucun risque.
Le lendemain soir, elle revient du travail épuisée, le string à découvert, les cheveux ébouriffés ...
Le mari en conclut qu'elle avait perdu :
- Mais chéri qu'est ce qu'il s'est passé, tu as bien ramassé les 500 euros avec moi !
Tu crois que c'est facile avec des pièces de 5 centimes !?