Dans la cantine d'une école catholique, les enfants faisaient la queue pour le self. Ils prenaient leur plateau, leurs couverts et arrivaient devant le bac à pomme. Là, une note disait :
"N'en prenez qu'une, Dieu vous surveille"
Les enfants continuaient alors, prenaient leur assiette et leur plat avant d'arriver devant le bac à pain au chocolat (ou chocolatine pour ne pas entrer dans le débat). Cette fois ci, une note griffonnée par une main d'enfant disait:
"Prenez en tant que vous voulez, Dieu surveille les pommes!"
Un breton raconte à ses amis:
- Hier soir, j'ai massé ma femme avec de l'huile aromatique, puis on a fait l'amour tellement intensément qu'elle a hurlé pendant cinq minutes !
Le Lorrain qui entend ça, répond:
- Oui, pas mal ! Hier soir moi aussi, j' ai massé ma femme avec du beurre aromatique. Après, on a fait l'amour tellement fort qu'elle a hurlé pendant 15 minutes !
L'alsacien intervient à son tour:
- Moi, je l'ai massé avec du chocolat. Ensuite on a fait l' amour et elle a hurlé pendant 3 heures !
Les deux autres, curieux et stupéfaits:
- Pendant trois heures ?
Et L'alsacien dit:
- Ben oui, j'ai essuyé mes mains sur les rideaux !
Le peintre connaît un succès fabuleux avec ses toiles représentant des papillons. Depuis quelques années, les collectionneurs se bousculent dans les galeries.
On veut en savoir plus sur sa technique, mais toujours il refuse de la révéler. Dans ses périodes de production, il s'enferme dans l'atelier où personne ne peut le déranger. Sous aucun prétexte. Il peut y rester pendant plusieurs jours, produisant un nombre étonnant de tableaux.
Un jour, sa femme le surprend avec une autre femme et, pour se venger, décide de l'espionner. Elle découvre enfin son secret...
Grâce à une petite caméra de surveillance, elle voit son mari baisser son pantalon, enlever son slip pour se retrouver nu comme un ver. Puis, il se trempe les fesses dans différents pots de couleurs, et il s'assied sur les toiles blanches, et c'est ainsi que les papillons prennent formes....
Artiste peintre à ses heures, elle décide, elle aussi, de faire des papillons.
Ils sont même plus gracieux que ceux de son mari, mais ils ne se vendent pas. Un soir de vernissage, elle demande à un acheteur qui a pris trois tableaux de son mari le mois précédent pourquoi il n'achète pas ses toiles?
- Ô madame, à dire vrai, je préfère les vôtres. Ils ont quelque chose de plus vibrant, de plus féminins, mais il manque les yeux...
Quatre vieilles dames prennent le café et discutent des positions respectives de leurs fils :
- Moi, le mien, dit la première, il est Pasteur. En s'adressant à lui, tout le monde dit " Mmm, Mon père "
- Ah, surenchérit la deuxième, c'est pas mal... Le mien est Evêque. En s'adressant à lui, tout le monde dit " Ah, Monseigneur "
- Allons, allons, pointe la troisième, je crois que je vous surclasse... Le mien est Cardinal... En s'adressant à lui, tout le monde dit "Euh, votre Eminence "
Leurs yeux se tournent vers la quatrième qui sirote son café en silence. Presque de concert, elles s'enquièrent...
- Et vous, ma chère, comment s'adresse t-on à votre fils ?
- Oh, le mien ? C'est bien simple, il est strip-teaser dans une boite de nuit... Il mesure un mètre quatre-vingt-dix et c'est bien simple, quand il finit son numéro, tout le monde dit : " Oh, mon Dieu ! "
Un jeune prêtre nouvellement ordonné vient d’être nommé dans une paroisse de campagne.
Le jour de la confession il dit au curé :
- Je n’en ai aucune expérience, je ne sais pas très bien quelle pénitence donner selon les cas.
- Ce n’est pas grave, dit le curé. Mettez-vous de l’autre côté, vous m’entendrez confesser.
Une première pénitente s’agenouille.
- Mon père, je m’accuse d’avoir trompé mon mari…
- Combien de fois ?
- Trois fois.
- Vous direz cinq « Je vous salue Marie » et vous mettrez dix euros dans le tronc de la Sainte Vierge.
Une seconde pénitente s’accuse elle aussi d’avoir trompé son mari trois fois.
- Vous direz cinq « Je vous salue Marie » et vous mettrez dix euros dans le tronc de la Sainte Vierge.
Après quoi il sort du confessionnal et dit au jeune prêtre de prendre sa place.
Une nouvelle pénitente s’agenouille de l’autre côté de la grille.
- Mon père, je m’accuse d’avoir trompé mon mari…
- Combien de fois ?
- Deux fois.
- Alors vous pouvez recommencer, parce qu’aujourd’hui pour dix euros vous avez droit à trois fois…